Créée il y a 30 ans (en février 1990) par Claudie Ravel, la société Guayapi sélectionne les meilleures matières premières nobles et éthiques d'Amazonie et du Sri Lanka pour les décliner autour de 3 registres : les superaliments, les compléments alimentaires et les cosmétiques. Ces produits respectent trois critères fondamentaux : le biologique, le social (commerce équitable) et bien évidemment l’environnemental (biodiversité).
Le biologique
Les critères de sélection des plantes utilisées dans la gamme des produits Guayapi, reposent sur leurs qualités d’origine et leur pureté. Ces critères sont toujours basés sur une absence totale de conservateurs chimiques et sur l’obtention d’une poudre à partir de la totalité de la partie choisie de la plante, appelée le Totum.
Le Totum (en latin) est l’intégralité de la partie de la plante ou du fruit la plus concentrée en principes actifs, cela peut être le noyau, la chair, les feuilles, la racine ou l’écorce…
Le social
À son échelle, l’entreprise soutient la tribu des Sateré Mawé (10 000 Indiens aujourd’hui alors qu’ils n’étaient plus que 6000 au début du projet) dans leur combat quotidien afin de préserver leur identité, leur culture, leur territoire. L'objectif est de privilégier les savoir‑faire traditionnels des populations locales, en bannissant tout procédé de transformation chimique.
L’environnemental
Guayapi utilise comme concept d’agriculture "la Forêt Analogue" ; méthode particulière de sylviculture développée à l’origine au Sri Lanka. Une forêt analogue imite la forêt originelle et adopte une structure et des fonctions écologiques similaires (analogues) à celle‑ci.
L’objectif de cette méthode est de restaurer la productivité de terres dégradées et ainsi de fournir de nouvelles ressources durables aux populations locales.